Football (VAFC) : revenu au centre du jeu, J.-R. Legrand a la nuit pour trouver un million d’euros
PUBLIÉ LE 24/06/2014
PAR SÉBASTIEN CHÉDOZEAU
Thierry Gomez parti, Jean-Raymond Legrand a consacré ce qui lui restait d’énergie, ce mardi, à convaincre des investisseurs de rester, et à d’autres de revenir, pour sauver le VAFC. En début de soirée, il lui manquait un million d’euros pour finaliser son tour de table. Les heures sont comptées : mercredi, le tribunal de commerce de Valenciennes et la DNCG statuent sur le sort du club. Et il n’y a plus de sursis à attendre…
Jean-Raymond Legrand est revenu au centre du jeu, mais l’a-t-il seulement quitté ? Depuis que VA est au plus bas, il a plusieurs fois affirmé, la main sur le cœur, sa volonté de ne pas être un frein au processus de redressement du club. Mais il est toujours là, incontournable, malgré la lassitude qui guette, après des semaines passées à se battre.
On n’a toujours pas compris pourquoi Thierry Gomez était parti en courant, lundi après-midi alors que tout semblait ficelé. « Avait-il envie à 200 % ? Je ne suis pas dans sa tête », glissait ce mardi Jean-Raymond Legrand, réfutant implicitement les théories selon lesquelles l’ancien président troyen aurait été effrayé par des fantômes sortis du placard. La piste Gomez éteinte, « on a dû réactiver nos pistes ».
Il semblerait qu’aucune n’ait jamais mené à Francis Decourrière, dont le nom était sorti du chapeau de Jean-Louis Borloo, lundi soir. L’ancien maire l’aurait bien vu reprendre la présidence quatre, cinq ou six mois, le temps de remettre le bateau à flots. Toute la journée, Jean-Raymond Legrand a privilégié ses propres réseaux. Relancé, Eddy Zdziech, le patron de TSR, n’est pas revenu dans la partie ; SEOS et GDE, en revanche, ne se sont pas défilés. En début de soirée, il manquait encore un million d’euros pour boucler le tour de table, le fameux million d’euros de FINORPA après lequel « JRL » court depuis deux semaines… En bout de course, c’est le tribunal de commerce et la DNCG qui décideront ce mercredi du devenir de VA.
PUBLIÉ LE 24/06/2014
PAR SÉBASTIEN CHÉDOZEAU
Thierry Gomez parti, Jean-Raymond Legrand a consacré ce qui lui restait d’énergie, ce mardi, à convaincre des investisseurs de rester, et à d’autres de revenir, pour sauver le VAFC. En début de soirée, il lui manquait un million d’euros pour finaliser son tour de table. Les heures sont comptées : mercredi, le tribunal de commerce de Valenciennes et la DNCG statuent sur le sort du club. Et il n’y a plus de sursis à attendre…
Jean-Raymond Legrand est revenu au centre du jeu, mais l’a-t-il seulement quitté ? Depuis que VA est au plus bas, il a plusieurs fois affirmé, la main sur le cœur, sa volonté de ne pas être un frein au processus de redressement du club. Mais il est toujours là, incontournable, malgré la lassitude qui guette, après des semaines passées à se battre.
On n’a toujours pas compris pourquoi Thierry Gomez était parti en courant, lundi après-midi alors que tout semblait ficelé. « Avait-il envie à 200 % ? Je ne suis pas dans sa tête », glissait ce mardi Jean-Raymond Legrand, réfutant implicitement les théories selon lesquelles l’ancien président troyen aurait été effrayé par des fantômes sortis du placard. La piste Gomez éteinte, « on a dû réactiver nos pistes ».
Il semblerait qu’aucune n’ait jamais mené à Francis Decourrière, dont le nom était sorti du chapeau de Jean-Louis Borloo, lundi soir. L’ancien maire l’aurait bien vu reprendre la présidence quatre, cinq ou six mois, le temps de remettre le bateau à flots. Toute la journée, Jean-Raymond Legrand a privilégié ses propres réseaux. Relancé, Eddy Zdziech, le patron de TSR, n’est pas revenu dans la partie ; SEOS et GDE, en revanche, ne se sont pas défilés. En début de soirée, il manquait encore un million d’euros pour boucler le tour de table, le fameux million d’euros de FINORPA après lequel « JRL » court depuis deux semaines… En bout de course, c’est le tribunal de commerce et la DNCG qui décideront ce mercredi du devenir de VA.