LIGUE 2 VALENCIENNES Zdziech : «Une renaissance»Le 22/05/2015 à 23:49:00 Mené à la mi-temps par le Gazélec Ajaccio, Valenciennes est finalement parvenu à l'emporter (2-1), assurant du même coup son maintien en L2. Le président du club, Eddy Zdziech, a fait part de son bonheur après le match.
Eddy Zdziech (président du VAFC) : «Ce soir, je viens pour la première fois en salle de presse. Tout m’est agréable. J’avais mis le défibrillateur pas loin en tribunes... Paradoxalement, avec de jeunes garçons à Sochaux (1-1), on avait bien encaissé la pression. On s’était dit "ils tiennent la route". Mais là, devant notre public, on a eu énormément de fébrilité. On s’est dit que ce n’était pas possible avec un public et une telle mobilisation, notamment des élus, de ne pas s’en sortir. Avec tout ce travail de David Le Frapper, de toute mon équipe, du centre de formation, il fallait valider ce travail. Même si ces belles heures pouvaient bien entendu s’éteindre. Si la catastrophe était arrivée, je serais en ce moment avec une calculette. Mais le coach (qui a remplacé Bernard Casoni sur les treize derniers matches) a trouvé les bons mots à la mi-temps. J’en ai rajouté quelques-uns en disant qu’ils ne pouvaient pas se faire ça. Ils auraient également été punis. Ils se sont tous levés. C’était beau à voir dans le vestiaire. On va maintenant rendre une copie à la DNCG (le 23 juin) qui n’est pas parfaite, mais on a fait des économies et on essaye d’insuffler un nouvel élan. Il manque encore quelques petits détails. Mais ce qui s’est passé ce soir ne peut-être qu’un accélérateur. On revient de loin mais on a vécu une renaissance. David Le Frapper était la personne idéale. Il a fait un travail extraordinaire. On a envie qu’il continue, avec ce petit hic qui concerne le diplôme (il n’a pas le DEPF). C’est en tous cas le projet du club basé sur la formation.»
http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Zdziech-une-renaissance/560727
Eddy Zdziech (président du VAFC) : «Ce soir, je viens pour la première fois en salle de presse. Tout m’est agréable. J’avais mis le défibrillateur pas loin en tribunes... Paradoxalement, avec de jeunes garçons à Sochaux (1-1), on avait bien encaissé la pression. On s’était dit "ils tiennent la route". Mais là, devant notre public, on a eu énormément de fébrilité. On s’est dit que ce n’était pas possible avec un public et une telle mobilisation, notamment des élus, de ne pas s’en sortir. Avec tout ce travail de David Le Frapper, de toute mon équipe, du centre de formation, il fallait valider ce travail. Même si ces belles heures pouvaient bien entendu s’éteindre. Si la catastrophe était arrivée, je serais en ce moment avec une calculette. Mais le coach (qui a remplacé Bernard Casoni sur les treize derniers matches) a trouvé les bons mots à la mi-temps. J’en ai rajouté quelques-uns en disant qu’ils ne pouvaient pas se faire ça. Ils auraient également été punis. Ils se sont tous levés. C’était beau à voir dans le vestiaire. On va maintenant rendre une copie à la DNCG (le 23 juin) qui n’est pas parfaite, mais on a fait des économies et on essaye d’insuffler un nouvel élan. Il manque encore quelques petits détails. Mais ce qui s’est passé ce soir ne peut-être qu’un accélérateur. On revient de loin mais on a vécu une renaissance. David Le Frapper était la personne idéale. Il a fait un travail extraordinaire. On a envie qu’il continue, avec ce petit hic qui concerne le diplôme (il n’a pas le DEPF). C’est en tous cas le projet du club basé sur la formation.»
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