VAFC : « Je viens pour progresser, m’épanouir et m’imposer », confie Mathis Picouleau :
Le voilà dans le grand bain. Mathis Picouleau a signé son premier contrat professionnel de trois ans avec le VAFC, quitté pour la première fois sa Bretagne natale et vivre loin de ses parents dans son appartement. Autant de nouveautés qui ne sont pas pour déplaire au jeune milieu offensif de 20 ans, posé, volontaire, ambitieux.
Vous venez de signer votre premier contrat pro, quelle sensation cela procure-t-il ?
« C’est une grande fierté. Le coach m’a présenté son projet et le fait d’être avec les pros tous les jours va me permettre de progresser. Et si je suis bon, j’aurai du temps de jeu. L’objectif est d’apprendre, progresser et m’imposer. »
Vous avez été formé à Rennes, c’est un regret de ne pas signer là-bas ?
« Non, il n’y a pas de regret. Je ne faisais pas partie des plans. Je suis entré au club en U10 et j’y ai joué pendant dix ans. Au départ, ils m’avaient fait une proposition de contrat de trois ans qui a été modifiée pour une seule année. Moi, je voulais un contrat de trois ans, éventuellement être prêté un an pour ensuite revenir au club avec les pros. Ils sont revenus sur leur proposition et j’ai décidé de partir. »
Comment s’est opéré le choix pour Valenciennes ?
« Ce qui m’a décidé, c’est l’appel du coach. Il m’a tout de suite présenté son projet, il a mis en valeur mes qualités et les points faibles à travailler. Il m’a bien observé. Ce qui m’intéressait, c’était un vrai projet sportif pour lancer mon début de carrière. C’est maintenant qu’il faut commencer à s’entraîner avec les pros. Il faut que je passe le cap. Je voulais aussi reprendre vite avec le groupe pour pouvoir m’intégrer le plus rapidement. Je ne voulais pas arriver en cours de préparation. »
Dans quelle configuration vous sentez-vous le plus à l’aise ?
« Á Rennes, j’ai joué en 4-4-2, en 3-5-2, et en équipe de France en 4-3-3. Je peux joueer à tous les postes du milieu, je suis complet. Je préfère en 8 comme relayeur, j’ai aussi joué en sentinelle avec les Bleus à l’Euro. Plus jeune, je jouais numéro 10. »
Quels objectifs vous êtes-vous fixés ?
« Je veux faire une bonne saison avec VA. Après le club a pour ambition de monter en Ligue 1, donc forcément, c’est un très bel objectif. »
Vous quittez le cocon familial et sportif, vous allez tout découvrir à la fois...
« Je vais découvrir autre chose, apprendre l’autonomie. Ça va me permettre de me développer sur le plan humain. Ça m’aidera à avoir plus de caractère sur le terrain et d’être mieux, mais ça, on me l’a un peu reproché à Rennes. »
Que gardez-vous comme souvenirs de ces dix premières années ?
« Pendant dix ans à Rennes, j’ai pu progresser. Sur la fin, je progressais moins jusqu’à ce que le club mette des choses en place sur le plan individuel. J’ai bien progressé la saison dernière, surtout devant le but où j’avais du mal à me projeter. Cette saison, je me suis plus projeté et j’ai commencé à marquer. En équipe de France, j’ai eu Lionel Rouxel tout au long. Je vis ça comme un plus, pas comme une fin en soi. En travaillant sur le terrain, je sais qu’on est récompensé et ça m’a permis de vivre deux Euros et une coupe du monde en Inde où j’ai vu une autre façon de vivre. »
Mathis Picouleau. Né le 8 mai 2000 (20 ans). 1,71 m. Milieu polyvalent gaucher. Formé au Stade Rennais. 35 sélections en équipes de France jeunes (Euro 2017 et 2019, coupe du monde 2017).
Le voilà dans le grand bain. Mathis Picouleau a signé son premier contrat professionnel de trois ans avec le VAFC, quitté pour la première fois sa Bretagne natale et vivre loin de ses parents dans son appartement. Autant de nouveautés qui ne sont pas pour déplaire au jeune milieu offensif de 20 ans, posé, volontaire, ambitieux.
Vous venez de signer votre premier contrat pro, quelle sensation cela procure-t-il ?
« C’est une grande fierté. Le coach m’a présenté son projet et le fait d’être avec les pros tous les jours va me permettre de progresser. Et si je suis bon, j’aurai du temps de jeu. L’objectif est d’apprendre, progresser et m’imposer. »
Vous avez été formé à Rennes, c’est un regret de ne pas signer là-bas ?
« Non, il n’y a pas de regret. Je ne faisais pas partie des plans. Je suis entré au club en U10 et j’y ai joué pendant dix ans. Au départ, ils m’avaient fait une proposition de contrat de trois ans qui a été modifiée pour une seule année. Moi, je voulais un contrat de trois ans, éventuellement être prêté un an pour ensuite revenir au club avec les pros. Ils sont revenus sur leur proposition et j’ai décidé de partir. »
Comment s’est opéré le choix pour Valenciennes ?
« Ce qui m’a décidé, c’est l’appel du coach. Il m’a tout de suite présenté son projet, il a mis en valeur mes qualités et les points faibles à travailler. Il m’a bien observé. Ce qui m’intéressait, c’était un vrai projet sportif pour lancer mon début de carrière. C’est maintenant qu’il faut commencer à s’entraîner avec les pros. Il faut que je passe le cap. Je voulais aussi reprendre vite avec le groupe pour pouvoir m’intégrer le plus rapidement. Je ne voulais pas arriver en cours de préparation. »
Dans quelle configuration vous sentez-vous le plus à l’aise ?
« Á Rennes, j’ai joué en 4-4-2, en 3-5-2, et en équipe de France en 4-3-3. Je peux joueer à tous les postes du milieu, je suis complet. Je préfère en 8 comme relayeur, j’ai aussi joué en sentinelle avec les Bleus à l’Euro. Plus jeune, je jouais numéro 10. »
Quels objectifs vous êtes-vous fixés ?
« Je veux faire une bonne saison avec VA. Après le club a pour ambition de monter en Ligue 1, donc forcément, c’est un très bel objectif. »
Vous quittez le cocon familial et sportif, vous allez tout découvrir à la fois...
« Je vais découvrir autre chose, apprendre l’autonomie. Ça va me permettre de me développer sur le plan humain. Ça m’aidera à avoir plus de caractère sur le terrain et d’être mieux, mais ça, on me l’a un peu reproché à Rennes. »
Que gardez-vous comme souvenirs de ces dix premières années ?
« Pendant dix ans à Rennes, j’ai pu progresser. Sur la fin, je progressais moins jusqu’à ce que le club mette des choses en place sur le plan individuel. J’ai bien progressé la saison dernière, surtout devant le but où j’avais du mal à me projeter. Cette saison, je me suis plus projeté et j’ai commencé à marquer. En équipe de France, j’ai eu Lionel Rouxel tout au long. Je vis ça comme un plus, pas comme une fin en soi. En travaillant sur le terrain, je sais qu’on est récompensé et ça m’a permis de vivre deux Euros et une coupe du monde en Inde où j’ai vu une autre façon de vivre. »
Mathis Picouleau. Né le 8 mai 2000 (20 ans). 1,71 m. Milieu polyvalent gaucher. Formé au Stade Rennais. 35 sélections en équipes de France jeunes (Euro 2017 et 2019, coupe du monde 2017).