Football : qui est la pépite Ismaël Doukouré qui vient de signer pro au VAFC à 16 ans ? :
Il est présenté comme le futur Dayot Upamecano. Le jeune Ismaël Doukouré vient de signer son premier contrat professionnel alors qu’il n’aura 17 ans qu’à la fin du mois. Le défenseur central marche sur les traces de son aîné même si son profil est loin d’être identique.
Courtisé par de grands clubs, Ismaël Doukouré va effectuer ses premiers pas professionnels dans son club formateur. Et ce n’est pas une petite victoire pour VA qui avait vu l’AS Rome, la Juventus, Bergame, le Hertha Berlin, Benfica et même le FC Barcelone l’observer et sonder son entourage. Son contrat de trois ans (le maximum pour un premier contrat pro) va lui laisser le temps de s’endurcir au contact du monde pro ce que Valenciennes, le couteau sous la gorge au moment de sa relégation, n’avait pas pu faire avec Dayot Upamecano, parti à Salzbourg pour 2,2 M €, en sauvant les finances du club, comme Papin ou Chiarelli avant lui. Le président Eddy Zdziech a souligné sur le site du club que cette « signature d’Ismaël valide l’excellent travail de notre centre de formation… Le fait qu’Ismaël ait fait confiance au VAFC pour son premier contrat pro envoie plein de signaux positifs. »
Car cette fois, le VAFC avait un peu plus de marge de manœuvre et a pu conserver un vrai talent en devenir que le club a piqué au LOSC via son recruteur Yunas Zahri puis développé sous la coupe de Boris Schuller et Olivier Bijotat pendant trois ans.
Comme l’an passé avec Noah Diliberto et Aymen Boutoutaou, Ismaël Doukouré a intégré le groupe pro pour le début de la préparation. « Il va être quinze jours avec nous, en immersion dans le groupe. C’est important de goûter à ça. Après il continuera sa formation pour prendre de l’épaisseur. Si ça se passe très bien, il restera avec nous », indique Olivier Guégan qui ne veut surtout pas précipiter les choses. « Il a encore plein de choses à voir, à développer. » Mais son talent ne lui a pas échappé. « Il a des qualités fortes pour le poste. Il aime les duels, joue en avançant. » Un joueur dominant, « mais dans sa catégorie », précise l’entraîneur qui apprécie de le voir « mature morphologiquement et mentalement. »
« Il a une grande qualité de relance courte et longue »
Olivier Bijotat, qui l’a entraîné pendant deux saisons, voit plusieurs similitudes avec Dayot Upamecano : « Il a de grandes qualités dans les duels, il rayonne dans ce jeu-là. Et comme Dayot, il a une mentalité de travail. Ces joueurs adorent s’entraîner, jouer et se développer. » Moins puissant que le joueur de Leipzig (1,82 m contre 1,86 m), il a en revanche des qualités techniques supérieures au même âge. « Son potentiel technique est plus affiné, plus subtil, plus délié. Il a une grande qualité de relance courte et longue. Et sur coup de pied arrêté, son jeu de tête peut débloquer des situations. »
Leader de jeu et dans les attitudes, Olivier Bijotat lui avait confié le brassard de capitaine, « pour qu’il apprenne à se responsabiliser, pour le développer en leader de groupe. Il en impose tellement sur le terrain qu’il est à suivre, mais pas encore par la voix. » Un axe de progression tout comme ses capacités physiques, sa culture tactique et sa vitesse.
Il est présenté comme le futur Dayot Upamecano. Le jeune Ismaël Doukouré vient de signer son premier contrat professionnel alors qu’il n’aura 17 ans qu’à la fin du mois. Le défenseur central marche sur les traces de son aîné même si son profil est loin d’être identique.
Courtisé par de grands clubs, Ismaël Doukouré va effectuer ses premiers pas professionnels dans son club formateur. Et ce n’est pas une petite victoire pour VA qui avait vu l’AS Rome, la Juventus, Bergame, le Hertha Berlin, Benfica et même le FC Barcelone l’observer et sonder son entourage. Son contrat de trois ans (le maximum pour un premier contrat pro) va lui laisser le temps de s’endurcir au contact du monde pro ce que Valenciennes, le couteau sous la gorge au moment de sa relégation, n’avait pas pu faire avec Dayot Upamecano, parti à Salzbourg pour 2,2 M €, en sauvant les finances du club, comme Papin ou Chiarelli avant lui. Le président Eddy Zdziech a souligné sur le site du club que cette « signature d’Ismaël valide l’excellent travail de notre centre de formation… Le fait qu’Ismaël ait fait confiance au VAFC pour son premier contrat pro envoie plein de signaux positifs. »
Car cette fois, le VAFC avait un peu plus de marge de manœuvre et a pu conserver un vrai talent en devenir que le club a piqué au LOSC via son recruteur Yunas Zahri puis développé sous la coupe de Boris Schuller et Olivier Bijotat pendant trois ans.
Comme l’an passé avec Noah Diliberto et Aymen Boutoutaou, Ismaël Doukouré a intégré le groupe pro pour le début de la préparation. « Il va être quinze jours avec nous, en immersion dans le groupe. C’est important de goûter à ça. Après il continuera sa formation pour prendre de l’épaisseur. Si ça se passe très bien, il restera avec nous », indique Olivier Guégan qui ne veut surtout pas précipiter les choses. « Il a encore plein de choses à voir, à développer. » Mais son talent ne lui a pas échappé. « Il a des qualités fortes pour le poste. Il aime les duels, joue en avançant. » Un joueur dominant, « mais dans sa catégorie », précise l’entraîneur qui apprécie de le voir « mature morphologiquement et mentalement. »
« Il a une grande qualité de relance courte et longue »
Olivier Bijotat, qui l’a entraîné pendant deux saisons, voit plusieurs similitudes avec Dayot Upamecano : « Il a de grandes qualités dans les duels, il rayonne dans ce jeu-là. Et comme Dayot, il a une mentalité de travail. Ces joueurs adorent s’entraîner, jouer et se développer. » Moins puissant que le joueur de Leipzig (1,82 m contre 1,86 m), il a en revanche des qualités techniques supérieures au même âge. « Son potentiel technique est plus affiné, plus subtil, plus délié. Il a une grande qualité de relance courte et longue. Et sur coup de pied arrêté, son jeu de tête peut débloquer des situations. »
Leader de jeu et dans les attitudes, Olivier Bijotat lui avait confié le brassard de capitaine, « pour qu’il apprenne à se responsabiliser, pour le développer en leader de groupe. Il en impose tellement sur le terrain qu’il est à suivre, mais pas encore par la voix. » Un axe de progression tout comme ses capacités physiques, sa culture tactique et sa vitesse.