L’épopée valenciennoise de Roger Milla a ravivé bien des souvenirs
PAR JULIEN DUFURIERvalenciennes@lavoixdunord.fr
Un bon de l’opération «Soulier d’Or», qui avait permis de financer le transfert de Roger Milla à Valenciennes.
L’article consacré au passage de l’attaquant camerounais à Valenciennes, à la fin des années 70, a été très partagé et commenté. Il a aussi rappelé des tas des souvenirs aux supporteurs de longue date.
VALENCIENNES.
Manque de foot ? Besoin de s’évader de l’actualité anxiogène ? Nostalgie d’une époque qui rappelle leur jeunesse à certains de nos lecteurs ? Il y a sans doute un peu de tout ça pour expliquer l’intérêt suscité par notre article consacré au rocambolesque passage de Roger Milla sous les couleurs valenciennoises, entre 1977 et 1979.
Il a aussi entraîné l’équipe féminine mais a dû arrêter car sa femme était très jalouse. MICHEL LEMOINE
Partagé plusieurs centaines de fois sur les réseaux sociaux, sujet à de nombreux commentaires, le papier sur les péripéties à Nungesser de celui qui est devenu le plus vieux buteur lors d’un match de coupe du monde, à 42 ans en 1994, a fait remonté une foule de souvenirs chez les supporteurs du club.
UNE SOUSCRIPTION
POUR SA VENUE
De nombreux lecteurs ont salué « un super-joueur », qui n’a pourtant évolué qu’une saison avec les pros valenciennois. D’autres livrant aussi des anecdotes savoureuses liées au buteur africain. « Il venait tous les jours chez mes parents au café brasserie près de la gare, raconte ainsi Michel Lemoine. Il a aussi entraîné l’équipe féminine mais a dû arrêter car sa femme était très jalouse. »
La trace laissée par celui qui reste un des meilleurs joueurs africains de l’histoire est aussi liée aux conditions de son arrivée à Valenciennes.
Pour s’offrir les services du buteur camerounais, les dirigeants de l’époque avaient lancé une souscription auprès des supporteurs : « l’opération Soulier d’Or », dont Stanislas Niedzwiecki nous a transmis un vestige actant de sa participation. « Convertissez 10 Francs en euros, pour moi 1,5 euros. Une pacotille par rapport au marché actuel du football », glisse-t-il très justement.
PAR JULIEN DUFURIERvalenciennes@lavoixdunord.fr
Un bon de l’opération «Soulier d’Or», qui avait permis de financer le transfert de Roger Milla à Valenciennes.
L’article consacré au passage de l’attaquant camerounais à Valenciennes, à la fin des années 70, a été très partagé et commenté. Il a aussi rappelé des tas des souvenirs aux supporteurs de longue date.
VALENCIENNES.
Manque de foot ? Besoin de s’évader de l’actualité anxiogène ? Nostalgie d’une époque qui rappelle leur jeunesse à certains de nos lecteurs ? Il y a sans doute un peu de tout ça pour expliquer l’intérêt suscité par notre article consacré au rocambolesque passage de Roger Milla sous les couleurs valenciennoises, entre 1977 et 1979.
Il a aussi entraîné l’équipe féminine mais a dû arrêter car sa femme était très jalouse. MICHEL LEMOINE
Partagé plusieurs centaines de fois sur les réseaux sociaux, sujet à de nombreux commentaires, le papier sur les péripéties à Nungesser de celui qui est devenu le plus vieux buteur lors d’un match de coupe du monde, à 42 ans en 1994, a fait remonté une foule de souvenirs chez les supporteurs du club.
UNE SOUSCRIPTION
POUR SA VENUE
De nombreux lecteurs ont salué « un super-joueur », qui n’a pourtant évolué qu’une saison avec les pros valenciennois. D’autres livrant aussi des anecdotes savoureuses liées au buteur africain. « Il venait tous les jours chez mes parents au café brasserie près de la gare, raconte ainsi Michel Lemoine. Il a aussi entraîné l’équipe féminine mais a dû arrêter car sa femme était très jalouse. »
La trace laissée par celui qui reste un des meilleurs joueurs africains de l’histoire est aussi liée aux conditions de son arrivée à Valenciennes.
Pour s’offrir les services du buteur camerounais, les dirigeants de l’époque avaient lancé une souscription auprès des supporteurs : « l’opération Soulier d’Or », dont Stanislas Niedzwiecki nous a transmis un vestige actant de sa participation. « Convertissez 10 Francs en euros, pour moi 1,5 euros. Une pacotille par rapport au marché actuel du football », glisse-t-il très justement.