Foot : le VAFC, au début d’une nouvelle ère
Maintenu et soulagé après une soirée riche en émotions, VA peut enfin regarder l’avenir plus sereinement. Sa belle génération de jeunes, son centre de formation performant et la réaction du public sont des motifs d’optimisme.
Sauvé par ses jeunes
Même si les cadres comme Yunis Abdelhamid, Bertrand Laquait et Anthony Le Tallec ont souvent porté l’équipe, VA s’est reconstruit cette saison autour de ses jeunes. Symboliquement, ce sont deux attaquants du centre de formation qui ont marqué les buts de la victoire pour le maintien. Pour Pierre Slidja, 19 ans (10 matchs en L2 dont 5 titularisations), il s’agissait du deuxième but chez les pros. Quant à l’international belge Isaac Mbenza, 19 ans (13 matchs, 1 titularisation), son premier but chez les pros, celui de la victoire, est un souvenir pour la vie. L’un et l’autre devraient signer leur premier contrat professionnel à VA cet été au même titre que trois autres jeunes internationaux qui ont fait leurs preuves : le milieu de terrain Lucas Tousart, 18 ans (17 matchs tous titulaire) ; le milieu (souvent en défense pour dépanner) Angelo Fulgini, 19 ans (16 matchs, dont 14 titularisations) ; et le défenseur Moussa Niakhaté, 19 ans (10 matchs, dont 7 titularisations). Avec Charruau, Kaboré, Nguette et Ndao, VA devrait s’appuyer la saison prochaine au minimum sur 9 pros formés au club, ce qui réjouit David Le Frapper, entraîneur qui garde l’âme du formateur. « On est à l’aube de belles choses. On a un centre de formation performant. Et là je pèse mes mots. Les gens travaillent très bien ici. »
Un staff validé
Le nouveau staff avait six mois pour convaincre et décrocher le maintien. Il est reçu avec mention. « Ce n’est pas David Le Frapper qui a réussi, c’est une équipe avec Fred (Zago), Nico (Rabuel), David (Klein), Romain (Carpentier), le staff médical et l’intendance », souligne le coach, compétiteur qui fonctionne aux valeurs et à l’affectif. « David a fait un travail extraordinaire. On veut bien sûr qu’il continue avec les jeunes. C’est le projet du club », assure le président Eddy Zdziech.
Un public relancé
Avec 19 038 spectateurs vendredi, VA a pulvérisé sa meilleure affluence de la saison pour finir au tableau d’honneur de la L2. Au-delà de la belle recette pour les finances du club, c’est un signe fort. « Un accélérateur auprès des partenaires et du monde football », insiste Eddy Zdziech, qui dit avoir reçu beaucoup de soutiens avant et après ce match du maintien. Finir la saison sur une telle ferveur populaire et une telle puissance du kop dans le bel écrin du Hainaut est assurément une bonne nouvelle pour l’avenir de VA.
Maintenu et soulagé après une soirée riche en émotions, VA peut enfin regarder l’avenir plus sereinement. Sa belle génération de jeunes, son centre de formation performant et la réaction du public sont des motifs d’optimisme.
Sauvé par ses jeunes
Même si les cadres comme Yunis Abdelhamid, Bertrand Laquait et Anthony Le Tallec ont souvent porté l’équipe, VA s’est reconstruit cette saison autour de ses jeunes. Symboliquement, ce sont deux attaquants du centre de formation qui ont marqué les buts de la victoire pour le maintien. Pour Pierre Slidja, 19 ans (10 matchs en L2 dont 5 titularisations), il s’agissait du deuxième but chez les pros. Quant à l’international belge Isaac Mbenza, 19 ans (13 matchs, 1 titularisation), son premier but chez les pros, celui de la victoire, est un souvenir pour la vie. L’un et l’autre devraient signer leur premier contrat professionnel à VA cet été au même titre que trois autres jeunes internationaux qui ont fait leurs preuves : le milieu de terrain Lucas Tousart, 18 ans (17 matchs tous titulaire) ; le milieu (souvent en défense pour dépanner) Angelo Fulgini, 19 ans (16 matchs, dont 14 titularisations) ; et le défenseur Moussa Niakhaté, 19 ans (10 matchs, dont 7 titularisations). Avec Charruau, Kaboré, Nguette et Ndao, VA devrait s’appuyer la saison prochaine au minimum sur 9 pros formés au club, ce qui réjouit David Le Frapper, entraîneur qui garde l’âme du formateur. « On est à l’aube de belles choses. On a un centre de formation performant. Et là je pèse mes mots. Les gens travaillent très bien ici. »
Un staff validé
Le nouveau staff avait six mois pour convaincre et décrocher le maintien. Il est reçu avec mention. « Ce n’est pas David Le Frapper qui a réussi, c’est une équipe avec Fred (Zago), Nico (Rabuel), David (Klein), Romain (Carpentier), le staff médical et l’intendance », souligne le coach, compétiteur qui fonctionne aux valeurs et à l’affectif. « David a fait un travail extraordinaire. On veut bien sûr qu’il continue avec les jeunes. C’est le projet du club », assure le président Eddy Zdziech.
Un public relancé
Avec 19 038 spectateurs vendredi, VA a pulvérisé sa meilleure affluence de la saison pour finir au tableau d’honneur de la L2. Au-delà de la belle recette pour les finances du club, c’est un signe fort. « Un accélérateur auprès des partenaires et du monde football », insiste Eddy Zdziech, qui dit avoir reçu beaucoup de soutiens avant et après ce match du maintien. Finir la saison sur une telle ferveur populaire et une telle puissance du kop dans le bel écrin du Hainaut est assurément une bonne nouvelle pour l’avenir de VA.